Heureusement pour Fillon, Fillon n'a pas été élu

→ Оригинал (без защиты от корпорастов) | Изображения из статьи: [1]

Chez Pol

Article réservé aux abonnés

Définitivement condamné dans l'affaire du «Penelopegate», François Fillon va voir sa peine réexaminée. En 2017, il voulait supprimer «la quasi-automaticité des remises et aménagements des peines de prison».

Extrait de Chez Pol, notre newsletter politique réservée à nos abonnés: découvrez-la gratuitement.

Quand on est de droite, et notamment en période électorale, on se doit d'être ferme. Ferme contre ces délinquants qui violent les lois et mettent à mal le pays. Le problème est que, souvent, ces mêmes personnes toutes empreintes d'autorité ont parfois des petits démêlés avec la justice. Et on se dit alors : heureusement pour eux que les mesures qu'ils prônaient face à leurs électeurs ne sont pas en application.

Exemple concret avec François Fillon. Mercredi 24 avril, l'ancien Premier ministre a été définitivement condamné dans l'affaire de l'emploi fictif de son épouse, Penelope Fillon, la Cour de cassation ayant rejeté son pourvoi. Jolie perf pour Fillon qui rejoint ainsi Jacques Chirac, Alain Juppé et Nicolas Sarkozy, trois anciennes têtes de l'exécutif qui, comme lui, ont aussi été condam